« L’AFIP m’a énormément aidée et m’a permis de me rendre compte de ce qui n’allait pas au niveau de mon CV, de ma lettre de motivation ou encore de mon attitude durant les entretiens.
A la suite de ça, j’ai été contacté 6 fois, j’ai fait 4 entretiens et ma candidature a été retenue dans 3 cabinets d’avocat. » Yanah-Eve, 2016
« J’ai cette particularité d’avoir cette double casquette de parrainé et de parrain. Il y a là à mon sens comme un système de vases communicants entre les deux, m’amenant à dire, de manière un peu laconique, que si je suis aujourd’hui parrain, c’est que j’ai été moi-même parrainé.
Si c’est par hasard que ma rencontre avec l’AFIP s’est faite, cette rencontre constitue une étape importante de mon parcours. Alors étudiant, faisant partie de ces jeunes inclus malgré eux dans ce que l’on nomme un peu trivialement « les minorités visibles », sans véritable ancrage social ni réseau, ayant simplement pour arme un bagage universitaire obtenu par la force d’une éducation familiale prônant le travail et le respect d’autrui, j’ai réalisé que ce bagage ne suffirait pas en ce sens que la conversion d’un diplôme en opportunité professionnelle n’a rien d’automatique. »
Emmanuel, Avocat au Barreau de Paris, 2017
« La rencontre avec ma marraine Peggy me permet de changer de posture : de jeune diplômée, je deviens petit à petit jeune professionnelle grâce à un regard bienveillant et critique sur mon parcours. C’est un moyen de prendre confiance en soi et d’être moins isolé au quotidien. Je fais aujourd’hui murir mon projet et travaille sur ma stratégie de recherche d’emploi.
Clarisse, 2017